Les gorges de Trévans (Que Trévans si je faiblis)

Publié le 5 octobre 2024 à 21:36

Accessible depuis le village d’Estoublon, à une trentaine de kilomètre au sud de Digne les Bains, les gorges de Trévans réservent aux amoureux de la nature plusieurs randonnées de différents niveaux. En été, la fraicheur de la rivière vous invite même à une pause baignade.

Le torrent « l’Estoublaïsse » a creusé, dans les calcaires du Jurassique, un étroit canyon haut de 200 mètres, dans un espace à la biodiversité remarquable encore aujourd’hui.

Dans les gorges de Trévans, vous pouvez trouver une quarantaine d’espèces d’oiseaux et de chauves-souris, ainsi que des chamois.

La flore y est également diversifiée, grâce à la situation entre les climats méditerranéen et préalpin. C’est pourquoi les gorges de Trévans sont classées en réserve biologique, en Espace Naturel Sensible et en zone Natura 2000.

Le nom de ces gorges, petites voisines des gorges du Verdon, vient de l’ancien village de Trévans rattaché à la commune d’Estoublon depuis 1973. De nombreux vestiges vous attendent au détour des sentiers, ceux du hameau de Valbonnette ou encore ceux de l’ancien établissement religieux médiéval de Saint André du Désert.


Mes photos:

 

Caractéristique de ma randonnée:

Date: 29 septembre 2024

Commune: Trévans (04)

Parcours: 9,810 km

Durée de déplacement: 3 h 06

Durée totale: 3 h 45

Dénivelé positif: 517 m

Point haut: 886 m

Point bas: 589 m

Retour au point de départ: Oui

Niveau de difficulté: Moyenne

Recommandations:

Prudence dans les gorges !

Ne vous approchez pas trop du bord.

Soyez vigilant dans la descente, il y a de petits pierriers.


Voici l'histoire de ma randonnée:

 

En ce 29 septembre 2024, j'ai eu la chance de faire une magnifique randonnée dans les gorges de Trévans, accompagné de Michel, Lugdivine, Lucca, Oriana et Manon.

Au départ, je n'étais pas convaincu par la beauté du lieu. Je m'attendais à quelque chose d'ordinaire, peut-être même un peu décevant. Pourtant, dès les premiers pas, j'ai été subjugué.

Les points de vue étaient à couper le souffle, chaque détour du sentier révélait un nouveau panorama digne d'une carte postale.

Les falaises majestueuses semblaient toucher le ciel, et les rivières en contrebas murmuraient des secrets anciens. La faune et la flore, d'une richesse incroyable, ont ajouté une dimension magique à notre aventure. Les oiseaux chantants, et les fleurs sauvages ont accompagné notre marche, rendant chaque instant unique et précieux.

Cette journée fut bien plus qu'une simple randonnée. C'était une véritable immersion dans la splendeur des Alpes-de-Haute-Provence, une parenthèse enchantée loin du quotidien.

Nous avons ri, partagé des moments de complicité et créé des souvenirs inoubliables. Je suis reconnaissant pour cette expérience et pour la compagnie de mes amis, sans qui cette aventure n'aurait pas eu la même saveur.

Je garderai longtemps en mémoire cette journée extraordinaire, marquée par la découverte et l'émerveillement.

Les gorges de Trévans ont surpassé toutes mes attentes et resteront à jamais gravées dans mon cœur comme l'un des plus beaux endroits que j'ai eu la chance de visiter.


Une fois arrivés sur le parking, au point de départ de la rando, nous nous équipons bien comme il faut, car il fait 8°C.

Heureusement qu’il fait super beau.
Face à la voiture, ce panneau apporte des informations très importantes sur ses sublimes gorges de Trévans.
Après un bref coup d’œil, nous prenons la direction des gorges.


Une fois la barrière franchie, une vaste prairie verdoyante nous fait face.
Il n’y a peut-être rien d’exceptionnel en regardant la photo, mais je vous garantis que sur place, cet endroit vous émerveille.


Cinq minutes plus tard, je décide de sortir mon téléphone pour identifier avec l’application Peakfinder, ce sommet.
Découvrant qu’il s’agit de la montagne de Beynes, je m’empresse de dire à Michel que c’est l’un des sommets que l’on a prévu de faire.
Vous savez maintenant que tôt ou tard, j’irai à la conquête de ce sommet.


Voici l’Estoublaisse.
La rivière L'estoublaisse est un affluent de la Rivière L'asse.
Altitude du lieu de confluence de 502 m.
Sa longueur est de 22,2 km.
Nous franchissons donc ce cours d’eau grâce à un premier pont très costaud.


Juste après le pont, je m’arrête face à ce panneau, puis je lis « Montdenier ».
Le Montdenier est un sommet que j’avais conquis le 25 Mars 2023 et je me rappelle qu’il y avait un vent glacial. Ce sommet est visible depuis mon village. Quels souvenirs de là-bas !
Bref, revenons aux gorges de Trévans et continuons notre chemin jusqu’à la prochaine découverte.


Voilà un premier champignon découvert par notre experte Oriana.
Il s’agirait d’un Lépiote Crêtée.
Cette Lépiote est considérée comme un champignon modérément toxique.
Soyez vigilant avec les champignons 🍄

 

Plus d'infos en cliquant sur la photo.


Voici un panneau que je vois souvent en rando et cette photo aurait pu être en tête de l’article.
Rien que les mots « Réserve biologique » annoncent de belles découvertes.


Voici un endroit relativement joli où je ne me baignerais pas, car la température de l’eau doit être très basse.
Nous prenons un instant pour photographier ce lieu magnifique et moi, j’en profite pour commencer à tourner ma vidéo TikTok.


Nouveau champignon en vue.
Je tiens à préciser que je ne suis pas expert dans le domaine, mais l’une de mes applications m’annonce que ce champignon serait un Coprin micacé.
Je n’apporte pas plus d’informations, car je ne suis pas certain que l’analyse soit bonne.


Voici un passage que je trouve joli et que me fait penser au sentier L’Imbut dans les gorges du Verdon que j’avais emprunté le 13 juillet 2021.
Voir ce sentier taillé dans la roche me fascine et je me demande comment il a été fait.


Trois minutes après, nous arrivons à ce carrefour des gorges où nous repasserons dans exactement 3h48.
Nous descendons donc le sentier d’en face, vers un nouveau pont.


À chaque visite, mon cœur s’emplit d’une émotion profonde en découvrant cet endroit merveilleux où le pont enjambe l’Estoublaisse.

Les petites gorges de Trévans, avec leur beauté saisissante, offrent un spectacle naturel d’une rare splendeur.

L’eau y coule paisiblement, ajoutant une douce mélodie à ce tableau idyllique.
Nous profitons de cet instant précieux pour capturer des souvenirs en quelques selfies, figer dans le temps notre émerveillement face à ce cadre enchanteur.


Puis, nous poursuivons notre chemin, le sentier nous guidant à travers une forêt majestueuse.

Chaque pas dans cette belle forêt est une invitation à la sérénité, un moment de communion avec la nature qui nous entoure.
Ce lieu magique est une source inépuisable de bonheur et d’évasion, un véritable sanctuaire où l’âme trouve repos et inspiration.


Sur cette photo, nous pouvons voir un tout petit bout du sentier que nous prendrons bientôt, puis nous longerons les falaises de gauche pour aller vers les sommets du fond et ensuite revenir sur le côté gauche de la montagne de droite.

C’est d’ailleurs sur cette montagne que nous ferons la pause repas.


Le sentier descend, puis je vois que Michel photographie cette montagne.
De là, où j’étais, je ne comprenais pas pourquoi il la prenait en photo, mais une fois à sa hauteur, j’ai compris qu’il avait trouvé l’angle parfait pour que le soleil soit en bordure de montagne.
J’ai donc fait pareil que lui.


De nouveau au bord de l’Estoublaisse, je continue à prendre des photos des beaux endroits que nous découvrons, mais j’en profite aussi pour continuer le tournage de ma vidéo TikTok.
Quel lieu apaisant et calme !


Une fois l’Estoublaisse traversée grâce à ces deux ponts, nous remontons à nouveau dans une belle forêt de pins jusqu’à ce qu’Oriana trouve sur le bord du sentier un fraisier des bois.
Bravo, à elle, car elle l’a identifiée de suite et toute seule.
Aromatique et distinctif grâce à son fruit, le fraisier des bois est l’espèce la plus commune des fraisiers sauvages. Il est facile de confondre le fraisier des bois avec des faux-fraisiers. Son fruit rouge est généralement très parfumé, et était autrefois utilisé pour faire des teintures.


Plus d’infos en cliquant sur l’image du fraisier.


Nous continuons notre chemin dans un vallon très joli, en direction du carrefour Saint-André et certains commencent déjà à avoir faim.

Nous attendrons de trouver un bel endroit pour le casse-croûte.


En avançant, en ayant toujours un œil sur le sentier et l’autre en train de chercher le moindre truc à photographier, je m’arrête à nouveau pour identifier cette plante.
Il s’agit d’un Calament népéta.
Le calament népéta est une plante qui s'acclimate aux sols pauvres et caillouteux et qui nécessite une exposition chaude et ensoleillée. De plus, il résiste très bien au froid (jusqu'à -24 ℃). Le calament népéta est surtout apprécié pour son port touffu et son nuage de fleurs à la fin de l'été.


Plus d’infos en cliquant sur la photo.


Huit minutes plus tard, nous voilà au carrefour de Saint-André.
Je regarde sur le plan via AllTrails où nous devons aller et c’est bien en direction de Valbonnette.
Sur mon téléphone, je recherche également des images du hameau de Valbonnette et ça a l’air super joli, mais sur place, il y aura une énorme différence entre les images et le réel.
Nous avons donc pris la décision de faire la pause au hameau, à 30 minutes de marche.


D’un pas décidé, pressés de manger, nous passons devant cette minie grotte qui m’a fait arrêter net.
Je pense qu’elle n’est vraiment pas grande.
Pas le temps d’aller voir, car l’estomac gargouille et un bon saucisson aux figues nous attend.


Oriana, en véritable experte de la nature, ne laisse échapper aucun détail dans ce cadre enchanteur. Sa capacité à observer le moindre recoin, la moindre feuille, est impressionnante.

Chaque pas qu’elle fait dans cette forêt semble la guider vers une nouvelle découverte.
Après avoir admiré les champignons nichés dans l’humus, le fraisier des bois, et la trouvaille de la mystérieuse grotte tapie dans l’ombre, son regard aiguisé se pose sur quelque chose d’inhabituel.

Là, elle repère un fossile d’ammonite. Une découverte extraordinaire, témoignant de millions d’années passées.
Un frisson d’excitation nous parcourt tandis qu’elle contemple ce trésor ancien, vestige d’un monde oublié. Le suspense de ses découvertes rend chaque exploration unique et inoubliable, renforçant encore l’amour et la passion pour la nature.


Un nouveau pont apparaît, celui qui est tout au bout de la boucle que l’on voit sur le plan.

Il nous mène aux jardins de Valbonnette, charmant petit endroit où l’on pourrait prendre la pause, mais nous choisissons d’aller manger plus haut.
Des personnes sont là, profitant de ce cadre magnifique pour refaire le plein d’énergie.


Au cœur des jardins de Valbonnette, un arbre majestueux se dresse, véritable monument de la nature. Ses branches imposantes s'étendent avec grâce, formant une canopée qui semble toucher le ciel. En son feuillage dense et verdoyant, la lumière joue un rôle d'artiste, filtrant à travers les feuilles pour créer un spectacle éblouissant de teintes et de nuances.
Chaque rayon de soleil qui traverse ce feuillage dessine des motifs d’ombres et de lumières, une danse douce et apaisante qui captive le regard. Cet arbre, témoin silencieux des saisons qui passent, inspire le respect et l’admiration. Il est le gardien des souvenirs, des rires et des confidences échangées sous ses branches protectrices.
En contemplant ce tableau vivant, un sentiment profond de sérénité et d’émerveillement nous envahit. Cet arbre majestueux, avec sa beauté intemporelle, incarne la force et la résilience de la nature. Il nous rappelle la simplicité et la splendeur de ce qui nous entoure, nous offrant un moment de pure contemplation et d’émotion dans les jardins enchanteurs de Valbonnette.


Face au gîte de Valbonnette, une étrange sensation de malaise s'empare de moi. Ce lieu, témoin d'un passé dont les secrets me sont inconnus, dégage une aura inquiétante. Les murs de pierre semblent murmurer des histoires oubliées, des récits de vies anciennes enveloppés dans le mystère.
Je ne pourrais jamais trouver le courage de passer une nuit ici. L'idée même de m'endormir sous ce toit me terrifie. Des esprits doivent rôder par là, veillant sur des secrets que le temps n’a pas réussi à effacer.
Ce gîte, avec son passé inconnu et ses histoires murmurées, restera à jamais un endroit que je ne pourrai aborder qu'à la lumière du jour. La nuit, il appartient aux ombres et aux esprits qui y errent, rappelant à chacun qu'il y a des lieux où les âmes perdues trouvent refuge, même dans l'oubli.


Voici une Verge d’or, dont la couleur a attiré toute mon attention lors de la montée.
La verge d'or est une plante qui produit une floraison jaune en forme de plumeau. Elle pousse naturellement dans les bois secs et les zones rocailleuses et se rencontre principalement en montagne. La verge d'or est consommée sous forme de tisane.


Plus d’infos en cliquant sur la photo.


Let’s go direction Valbonnette.
L’heure du repas approche à grands pas.
Le hameau n’est qu’à quelques petits mètres.


Nous voilà enfin au hameau.
Cela n’a rien à voir avec les photos que j’avais vues sur Internet.
Ce ne sont que des ruines et je pense reconnaître un four à pains et une cave.
Nous ne ferons finalement pas la pause repas ici, mais un peu plus loin.
Patience.


À cet instant précis de notre randonnée, la vue m'a arrêté net, comme si le paysage avait décidé de me captiver entièrement. Devant moi, s'étendait une scène d'une beauté saisissante, dominée par une montagne se dressant à l'horizon, tout au fond. Mon cœur battait la chamade alors que je sortais mon téléphone pour identifier ce sommet si petit vu d'ici.

Grâce à l'application Peakfinder, la réponse ne tarda pas à venir : c'était la crête du mont Chiran. Un frisson d'excitation me parcourut en réalisant que ce lieu, que j'avais tant désiré découvrir, se tenait là, au loin, majestueux et invitant. Cette crête, connu pour ses panoramas à couper le souffle, semblait me faire signe, comme une promesse d'aventures et de découvertes à venir.

Contemplant la crête du mont Chiran, une résolution se forma en moi. Un jour, je gravirais cette montagne et explorerais ses sentiers, me rapprochant encore un peu plus de la nature sauvage et de sa beauté indomptable. Pour l'instant, ce moment suspendu dans le temps me suffit, nourrissant mon rêve et renforçant ma détermination.


Le sentier s'élève doucement à l'ombre des pins, offrant une agréable protection contre les rayons ardents du soleil. Tandis que je grimpe, un doux parfum me chatouille les narines, me transportant presque dans une autre dimension. Ah, l'odeur enivrante de la nature, pensai-je. Mais un instant, ce parfum est étrangement familier.
Ce n’est pas le parfum résineux des pins qui embaume l’air, mais une senteur bien plus alléchante. En fait, il s'agit de quelque chose de plus… gastronomique. Un rapide coup d’œil à mon sac à dos, et la vérité me saute au nez — littéralement. C'est le saucisson aux figues que m’a soigneusement emballé Camille, l’épicière de mon village !
À chaque pas, ce saucisson me rappelle sa présence avec insistance, défiant les pins de rivaliser avec son arôme tentateur. Je ne peux m'empêcher de sourire à l’idée que ma randonnée soit accompagnée par ce compagnon olfactif inattendu. Finalement, qu'est-ce qu'une balade en pleine nature sans un bon saucisson

pour la sublimer ?

Et qui sait, peut-être que ce doux parfum pourrait même attirer mes ami(e)s randonneurs affamés partageant ma passion pour cette délicieuse charcuterie !


Enfin, le moment tant attendu est arrivé :

la pause repas !

Après des heures de marche, c’est avec une excitation palpable que nous nous arrêtons, prêts à savourer notre festin en pleine nature. Je plonge la main dans mon sac et sors le véritable graal de cette randonnée : le saucisson aux figues acheté la veille à l'épicerie de Brue-Auriac,

"Au marché de Cécilia".

Avec un soupçon de solennité, je déballe soigneusement notre trésor gastronomique. Pourtant, je sais déjà que ce saucisson ne verra pas la lumière du jour très longtemps. À peine a-t-il quitté son emballage qu’il est assailli par des regards affamés et des mains impatientes.

Le pauvre n’aura guère le temps de prendre l’air frais des montagnes. En quelques instants, il est tranché, partagé, et dévoré avec un enthousiasme qui ferait pâlir d’envie n'importe quel festin royal. Le parfum sucré des figues se mêle au goût salé du saucisson, créant une symphonie de saveurs qui nous fait presque oublier nos pieds endoloris.

Rassasiés et le sourire aux lèvres, nous reprenons notre marche, laissant derrière nous un simple souvenir du saucisson aux figues, ce héros éphémère de notre pause repas. Il n’a peut-être pas duré longtemps, mais il a certainement marqué nos papilles à jamais !


À cette intersection du Turquet, nous prenons le sentier qui descend vers le carrefour des gorges où nous étions passés tant tôt.
Plus tard, avec Michel, nous reviendrons faire la rando, mais en rallongeant le parcours en prenant le sentier de gauche.


En cours de descente, de nouveaux champignons sont sortis pour attirer notre attention.
Les oranges, il y en a pleins et les blancs, que ces deux-là.
Ne sachant pas les reconnaître, je ne met donc pas d’informations ici, même si j’ai une application pour les identifier.


Nous entamons maintenant une descente palpitante sur un sentier en zigzag, serpentant à travers le flanc escarpé de la montagne.

Chaque virage dévoile un panorama saisissant, mais notre attention est principalement captée par le chemin sinueux qui se déroule devant nous.
Pour assurer notre sécurité, le sentier est équipé de barrières robustes et de câbles solidement ancrés dans la roche.

Ces dispositifs rassurants offrent une prise fiable pour nos mains, nous permettant de descendre avec confiance et précaution.

À chaque virage, je m’arrête un instant pour admirer la vue, savourant la sensation d'aventure qui émane de cette descente.


Non loin de l’Estoublaisse, à gauche du sentier, ces baies rouges ne manquent pas de se faire remarquer, car elles sont seules, au milieu d’une végétation grisâtre.
Le tamier commun est une plante grimpante relativement commune en Europe. Ses feuilles en forme de cœur et ses petites fleurs jaunes en grappe sont très décoratives. En hiver, elle produit également de petites baies rouges luisantes. Le tamier commun est à considérer comme toxique.


Plus d’informations en cliquant sur la photo.


Juste au-dessus de l’Estoublaisse, le sentier passe à nouveau dans la roche, offrant une vue incroyable.
Me voilà obligé de clôturer ma vidéo TikTok ici, une vidéo que je vous invite à aller voir en cliquant sur le bouton TikTok en bas de la page.
Après cette petite halte, nous suivons le chemin vers le carrefour des gorges.


Bon, ce panneau, vous vous en souvenez ?
La boucle est bouclée.
Maintenant, c’est plat jusqu’au parking.


Les derniers mètres ce font sur ce sentier, à quelques petits pas de la voiture où il fait exactement 26°C contre 8°C ce matin.
De retour aux voitures, nous changeons les chaussures et il sera temps de dire au revoir à mes ami(e)s randonneurs du jour.

 

Au cœur des Alpes de Haute-Provence, nichés dans les magnifiques gorges de Trévans, nous avons partagé une journée qui restera gravée dans mon cœur.

Je tiens à remercier profondément Lugdivine, les enfants et Michel pour cette expérience inoubliable.

Votre compagnie a transformé cette journée en un véritable trésor de souvenirs.

Chaque moment passé ensemble, entre les rires, les conversations et les sourires, a été une source de bonheur inestimable.

Nous avons exploré une nature splendide, découvrant ensemble une faune et une flore riches et variées. Les paysages époustouflants des gorges de Trévans, avec leurs couleurs et leurs formes majestueuses, nous ont offert un spectacle constant de beauté.

Marcher à vos côtés, partager ces instants d’émerveillement devant la nature, a été une expérience profondément émouvante.

Chaque pas, chaque découverte, chaque éclat de rire a renforcé ce lien précieux qui nous unit.

Je garderai précieusement en mémoire cette journée extraordinaire, emplie de joie et de complicité.

Merci, Lugdivine, Michel et les enfants, pour avoir fait de cette aventure un moment exceptionnel de ma vie.

Et merci à l'épicerie "Au marché de Cécilia" pour le délicieux saucisson aux figues.

Cliquez sur le nom de l'épicerie pour accéder à leur page facebook

et y découvrir les meilleurs produits du terroir.


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